L’évaluation de la douleur chez la personne mal communicante
Il est prouvé que la douleur est très largement sous-diagnostiquée chez la personne démente. Il en résulte non seulement de la souffrance physique et psychologique mais aussi des troubles du comportement, des demandes incohérentes du résident et de sa famille et un sentiment d’impuissance chez le soignant.
La maîtrise de certaines méthodes amène plus de cohérence dans la prise en soin.
Public cible
Personnel travaillant en institution de soins ou à domicile : infirmiers, aides-soignants, paramédicaux, garde-malade.
Objectifs
• Comprendre l’intérêt d’évaluer la douleur selon le modèle biopsychosocial
• Réfléchir sur une démarche juste d’évaluation de la douleur chez les personnes mal communicantes
Contenu
La douleur : les idées reçues et les obstacles chez le personnel de soins
L’intérêt d’évaluer la douleur selon le modèle biopsychosocial
Perception de la douleur et sa signification : La somatisation
Les échelles de la douleur et leurs utilisations
Réflexion sur une démarche juste d’évaluation de la douleur chez les personnes mal communicantes
Méthodologie
Remise en question des croyances sur la douleur.
Support théorique accompagné d’une réflexion et d’une participation active du groupe.
Exercices d’analyse de situations vécues dans l’institution.
Exercices à l’utilisation des outils (sur base de cas cliniques, photos, vidéos).
Formateur(s)
En pratique
Chez vous en groupe de 9 à 15 participants
En 1/2 journée
Prix : 575 €* ou 1 journée de formation en 2 groupes ou 2 thématiques
Prix : 875 €* – Tarif sous condition : si 2 thématiques différentes, elles doivent être dispensées par le même formateur
*Prix TVAC et hors frais de déplacement
Thématiques complémentaires en journée complète :
05 Les soins palliatifs chez la personne atteinte de démence
02 Les différentes échelles d’évaluation utiles en fin de vie